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Cercle Genealogique de l’Aveyron
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Honoré de BALZAC (1799-1850)
d’origine rouergate ou d’origine albigeoise ?
Article mis en ligne le 6 février 2025
dernière modification le 10 février 2025

par Suzanne BARTHE

Notre adhérent Henri TEMPLE aurait aimé prouver les origines ROUERGATES de notre grand écrivain Honoré de BALZAC... Au risque de le décevoir, nos recherches tendent à confirmer que le côté albigeois est gagnant... mais qu’importe... d’une rive à l’autre du Viaur une chose est certaine : Honoré de Balzac est originaire d’Occitanie ! Nous en voulons pour preuve la généalogie descendante que nous vous proposons ci-dessous. Par ailleurs, nous invitons les descendants de la fort nombreuse famille BALSSA à se manifester en indiquant leur branche... bonne lecture !

Le postulat initial de notre adhérent M. Henri TEMPLE était le suivant :

Les Balssa viennent-ils d’une ferme nommée La Nougayrié dans l’écart de La Clauze, commune de Saint Jean Delnous, (Aveyron). Ou de Canezac, hameau de La Nougaryé, Commune de Montirat (Tarn).

Nous confirmons que l’acte de baptême de Bernard-François BALSSA figure bien dans les registres paroissiaux de Canezac, commune de Montirat, c’est à dire dans le Tarn !

Origine du patronyme BALSSA

Le patronyme originel est BALSSA. Pour diverses raisons familiales (procès pour "gravidation", féminicide, etc... évolution orthgraphique...
En 1799 le père d’Honoré signe BALZAC
Puis Honoré prendra le nom de plume de DE BALZAC...
De nombreuses hypothèses ont été avancées sur l’origine de ce nom BALSSA. Selon André Maurois et Philibert Audebrand,

le nom véritable, Balssa, de la famille paysanne de La Nougayrié dans le Tarn, dont était issu Honoré de Balzac, pourrait venir du radical bals qui, en occitan, signifie “roc escarpé”. Il y a en Auvergne des Balsac, Balzac, Balsan.

 [1]

De Jean Balssa à Honoré de Balzac par Jacques ASTOR

Dans La vie prodigieuse de Bernard-François Balssa - Aux sources historiques de La Comédie humaine , Jean-Louis Déga a excellemment mis en lumière les origines d’Honoré de Balzac.

Le premier ancêtre connu d’Honoré de Balzac est Jean Balssa (en 1560), dans la commune tarnaise de Montirat. Ce fut là, à quelques centaines de mètres de la vallée encaissée du Viaur qui sépare les deux départements du Tarn et de l’Aveyron, que s’enracina, siècle après siècle, l’ascendance de notre grand romancier.

Aîné de neuf enfants dont sept fils, Bernard-François Balssa partit de Canezac en 1766, à 20 ans, après avoir refusé d’épouser la fille, enceinte de ses œuvres, d’un charpentier du lieu et avoir été emprisonné pour cela. On le retrouve à Paris en 1771 pour une irrésistible ascension sociale à la Rastignac où l’ancien berger de La Nougayrié, devenu clerc de notaire et de procureur à Canezac et Albi, devient secrétaire au Conseil du Roi à Paris, puis, ayant voté la mort du souverain avec les dantonistes, est nommé directeur des vivres militaires à Tours, se mariant à 50 ans avec une jeune fille de la bourgeoisie parisienne. Notons qu’entre 1773 et 1783, Bernard-François Balssa devint Balsac puis Balzac.

De cette union naquirent 6 enfants : le premier étant mort à l’âge d’un mois, Honoré Balzac, né le 20 mai 1799, fut l’aîné des 5 enfants vivants.
Jean-Louis Déga a bien montré comment, entre 1773 et 1783, Bernard-François Balssa se fit appeler Balsac puis Balzac.

Mais, dit-il, cette substitution de nom ne fut pas inaugurée par le père d’Honoré. Il s’agit là d’une pratique anthroponymique familiale. Déjà, en 1610, une branche des Balssa établie à Rodez avait pris le nom de Balzac, et bien d’autres exemples peuvent en être donnés. L’auteur montre que, au XVIIIe siècle, les Balssa avaient eu, en trois siècles et demi, une nombreuse postérité de plus de cinquante familles se distinguant en Balssa, Balsa, Balza, et Balsac, Balzac, et relevant de tous les milieux sociaux ; depuis l’ouvrier à la journée jusqu’au châtelain (la branche des Balzac de Firmy).

On voit comment un vague rapprochement phonique entre Balsac et Balsa a suffi à une substitution. Et pourtant BALSSA est linguistiquement fort éloigné de BALZAC.

Il s’agit d’une forme phonétique de BALSAN (connu dans le Gard [commune de Dourbies], dans l’Hérault et l’Aveyron) représentant l’occitan balsan traduit par l’ancien français baucent / bausant qualifiant le cheval dont le bas des pattes (le paturon) est blanc ; appliqué à l’individu, le terme évoque peut-être l’élégance. Balssa correspond à la prononciation avec -an final dénasalisé, c’est-à-dire comme on prononce pan = pa « pain » ou plan (aquò va plan ?) = pla « bien » (cela va bien ?) dans le Tarn, en occitan méridional.
Jacques ASTOR

La commune de MONTIRAT

Comme nous allons le voir, la plupart des ancêtres d’Honoré sont originaires de cette commune située dans le nord du département du Tarn à 23 km au sud de Villefranche-de-Rouergue et à 24 km au nord d’Albi. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Ségala, territoire qui s’étend sur les départements du Tarn et de l’Aveyron.

Le Viaur, d’une longueur totale de 168 km, prend sa source dans la commune de Vézins-de-Lévézou  [2] et s’écoule d’est en ouest. Il traverse la commune de Montirat et se jette dans l’Aveyron à Laguépie.

Lagarde-Viaur dans son décor théâtral à mi-flanc des pentes du Viaur a toujours été le village le plus peuplé de la commune de Montirat. Dans cette commune, deux passages permettaient autrefois de traverser le Viaur et de communiquer avec le Rouergue voisin  : la Vicasse dans la paroisse de Canezac et la Nicouse, près de Lagarde-Viaur.

En 1709, la population de la communauté de Montirat était de 1400 habitants ; en 1790 elle s’élevait à 1785 habitants. Dans la communauté elle-même, les villages ou hameaux les plus peuplés d’après le cadastre de 1644 étaient celui de Lagarde-Viaur (64 propriétaires pour le village et 21 pour les faubourgs) suivi de celui de Montirat (34 propriétaires).

De nos jours, cette commune ne compte plus que 266 habitants (2022)

Nous insisterons sur le fait que la famille BALSSA a marqué la commune : en effet parmi les évènements associés à l’histoire de Montirat et Lagarde-Viaur il faut noter l’emprisonnement au « château » de Lagarde (sans doute la grande maison à quatre étages au cœur du village) en 1766 de Bernard-François Balssa pour avoir séduit et mise enceinte une jeune fille de la paroisse de Canezac, Marianne Mouychoux qu’il refusa d’épouser ; comme nous le verrons ce fut cet événement qui entraîna son départ définitif de la terre natale. Il deviendra en 1799 le père du romancier Honoré de Balzac qui a situé l’action d’un de ses romans de jeunesse Clotilde de Lusignan dans un village provençal nommé « Montyrat  » !

Eglise SAINT-MARTIN-de- CANEZAC

@Paroisse St François & Ste Claire en Ségala - L’Eglise catholique du Ségala tarnais

La commune de Montirat possède quatre églises,toutes différentes, dont celle de Saint-Martin de Canezac qui date du Moyen Age, mais fut reconstruite au 19ème siècle. En 1770, cete paroisse comptait 470 communiants. Sur la paroisse se trouve le hameau de Nougayrié, berceau de la famille d’Honoré de Balzac.

Génération 1 - Honoré de BALZAC - 1799-1850

Honoré de BALZAC (son nom de plume) est né à Tours le 20 mai 1799(1er prairial an VII) sous le nom de Honoré BALZAC [3] Nous verrons plus loin la raison de l’évolution orthographique du patronyme. Notre grand écrivain aura une vie privée fort mouvementée... à l’image de celle de son père.

Romancier, dramaturge, critique littéraire, critique d’art, essayiste, journaliste et imprimeur, etc ... Chevalier de la Légion d’Honneur et fondateur et président de la Société des gens de lettres

Honoré de BALZAC (1799-1850)

Celui que l’on peut considérer comme l’un des plus grands écrivains, et certainement le plus prolixe, Honoré eu de fort nombreuses "relations", mais il épousa le 14 mars 1850, à Berdytchiv, Zhytomyrska, Ukraine, Ewelina RZEWUSKA, Comtesse Hanska (1801-1882)

Honoré décèdera le 18 août 1850 à Paris à l’âge de 51 ans

Génération 2 - BALZAC x SALLAMBIER

Son père Bernard-François BALZAC , propriétaire, demeurait en 1799 à Tours, 25 rue de l’armée d’Italie, mais il était originaire de Montirat (Tarn) où il était né baptisé le 22.07.1746, et où il fut baptisé en l’église Saint-Martin de Canezac. [4]

Bernard François BALSSA fils de Bernard BALSSA laboureur et de Jeanne GRANIER mariés de la Nougayrie paroisse de Canezac est né le vingt deux juillet mil sept cent quarante six …… baptisé le même jour dans l’église dudit Canezac parrain François GRANIER ayeul et marraine Jeanne NOUVIALLE ayeule ….. de la Pradelle illétrés.

Est-ce la personnalité de son père qui a inspiré l’auteur de la Condition humaine  ? De fait, ce personnage haut en couleurs eu une vie riche d’aventures...

La tradition indique que le curé du village apprit le français et le latin à Bernard-François BALZAC. Ce qui lui ouvrit probablement la brillante carrière que nous indiquerons plus tard... Mais, alors que Bernard-François a 20 ans, en 1766, une jeune fille le traîne en justice sous l’accusation de "gravidation". Incarcéré, au château de Lagarde-Viaur, il ne doit sa liberté qu’au paiement d’une caution par son père qui, pour cela, doit vendre une terre.

Bernard-François Balssa quitte donc à l’âge de vingt ans la ferme familiale après son emprisonnement à Lagarde-Viaur. Employé par l’administration des Domaines de la Couronne, on le retrouve en 1771, à l’âge de 25 ans, comme secrétaire du marquis Antoine François Bertrand de Molleville à Toulouse et à Montesquieu-Volvestre puis au Conseil du Roi.

Bernard-François BALZAC (1746-1829)

Bernard-François BALZAC sera Clerc de Notaire (1761), Secrétaire du marquis de Molleville, (1771) Directeur des vivres (1795) à Tours, Secrétaire au Conseil du Roi. Directeur des vivres de la 22e division militaire de Tours, propriétaire

La mère d’Honoré de BALZAC était Anne Charlotte Laure SALLAMBIER. De 32 ans la cadette de son époux, elle était la fille de Claude Louis Joseph SALLAMBIER et de Sophie Marie Barbe CHAUVET. Elle était née à Paris le 22 octobre 1778

Anne Charlotte Laure SALLAMBIER (1778-1854)

Le couple s’était uni dans le 8ème arrondissement de Paris le 11 Pluviose An V (30 janvier 1797). De leur union naîtront :

 Honoré BALZAC (1799-1850)
 Laure BALZAC (1800-1871)
 Laurence BALZAC (1802)
 Henry François BALZAC (1807-1858) Marié le 28 décembre 1831, Port-Louis, Maurice, avec Marie-Françoise Éléonore BALAN.

Bernard-François BALZAC décèdera le 19.06.1829. et sera inhumé au Père Lachaise.

Anne Charlotte Laure SALLAMBIER décèdera le 1er août 1854 (Les Andelys, Eure), à l’âge de 75 ans.

Génération 3 - BALSSA x GRANIER

Le grand-père de notre génie de la plume : Bernard BALSSA est né le 15.01.1716 au massage de La Pradelles, Canezac à Montirat, où il décèdera le 22 mai 1778. Il était laboureur.

La grand-mère de notre écrivain, Jeanne GRANIER, était née le 24.01.1722, fille de François GRANIER, laboureur, et de Jeanne GAYRAU de la Nougayrié, paroisse de St Martin de Canezac ; son parrain fut Jean GRANIER, grand-père paternel et sa marraine : Antoinette ARMAND, grand-mère maternelle. Jeanne GRANIER décèdera le 5 décembre 1797 à Montirat, à l’âge de 75 ans

Le couple Bernard BALSSA x Jeanne GRANIER s’était uni le 4 octobre 1745 dans l’église paroissiale St Martin de Canezac à Montirat.

Ils donnèrent naissance à La Nougayrie à 11 enfants (Cf Registres paroissiaux de St-Martin de Canesac) :

  1. Bernard François BALSSA (1746-1829) Relation en 1766, Montirat, avec Marianne MOUYCHOUX (†1766). Puis Marié le 30 janvier 1797, avec Anne Charlotte Laure SALLAMBIER (1778-1854)
  2. Jean BALSSA né le 5 octobre 1748. Marié le 4 février 1777, Montirat, avec Marie Brigitte LACOMBE de BLANCHEFORT (ca 1747-1815)
  3. François BALSSA (°21.121750-30.121750) âgé de 9 jours enseveli le lendemain
  4. Pierre BALSSA. Né le 9.02.1752.
  5. Jean Pierre BALSSA , né et baptisé le 28 mai 1753 - il décèdera en1829). Marié le 3 mars 1783, à Montirat, avec Cécile SANCERÉ
  6. Marie BALSSA
  7. Charles Alexis BALSSA. Né le 19 novembre1757. Il décèdera en 1793.
  8. Marthe BALSSA. Née le 17 octobre 1759. Mariée le 8 février 1785, à Montirat, avec Guillaume VIATTELES.
  9. Joseph BALSSA. Né le 19 aout 1761. Il décèdera en 1836. Marié en 1790 avec Marianne JEAN.
  10. François BALSSA. Né le 26 septembre 1763. Il décèdera en 1818. Marié le 4 janvier 1798, à Montirat, avec Anne Marie SEGONS.
  11. Louis BALSSA, Né le 18 févrer 1766. Il décèdera en 1819.
    Marié le 7 août 1799 (20 thermidor An 7), à Montirat, avec Jeanne Marie FRICOU 1772, fille de feu Joseph FRICOU et de Marie GAYRARD, du moulin de Tulet [5]
Louis BALSSA, dernier fils de la fratrie, accusé du meurtre de Cécile Soulié, fille servante, enceinte de six mois, étranglée dans la nuit du 5 au 6 juillet 1818, près de la fontaine de Fexeire, il fut condamné à mort le 14 juin 1819 par les Assises d’Albi, et exécuté le 16 août sur la place du Manège. Une tradition veut qu’il ait été innocent et que, pour des raisons obscures, il ait payé à la place du vrai coupable.

Génération 4 - BALSSA x NOUVIALE

Bernard BALSSA, né le 12 février 1684 à Montirat, où il décèdera le 8 novembre 1754.
Il y avait épousé le 18 janvier 1704.

Jeanne NOUVIALE, serait née vers 1686, à Flauzins à Lescure-Jaoul, Aveyron. Elle décèdera le 13 avril 1761 veuve de Bernard BALSSA de La Pradelle Montirat à l’âge de 75 ans environ .

Notre écrivain a donc des origines aveyronnaises !

De cette union :
- Bernard Balssa (1716-1778)
 Jean Balssa (1731-1773)

Génération 5 - BALSSA x MIQUEL

Bernard BALSSA
Né le 5 décembre 1648 au massage de La Pradelle Montirat. Il sera baptisé le lendemain 6 décembre.
Décédé le 22 octobre 1707 à La Pradelle Montirat. Il fut enseveli le lendemain dans le cimetière de Canezac.

Marié vers 1680, avec

Antoinette MIQUEL
Née le 4 juin 1649 au massage de Canezac et fut baptisée en l’église St Martin de Canezac le 6 juin. Parrain : Pierre MIQUEL de Canezac.
Décédée le 7 avril 1718. Elle fut ensevelie au cimetière de Canezac, veuve de Bernard BALSSA de La Pradelle. Présents : Bernard et François BALSSA ses fils.

De cette union :
 Bernard Balssa (1684-1754)
 François Balssa (1686-ca 1762)

Le couple demeurait au masage de la Pradelle paroisse St Martin de Canezac à Montirat

Génération 6 - BALSSA x COSTE

Antoine BALSSA
Né vers 1607 à Montirat
Décédé le 10 février 1677 au massage de La Pradelle (Montirat), âgé d’environ 70 ans. Il fut enseveli au cimetière de Saint-Martin de Canezac le 11 février.

Il avait épousé le 29 novembre 1647, à St-Martin de Canezac (Montirat)

Jeanne COSTE
Née vers 1627 à Jouqueviel, Tarn.
Décédée le 23 avril 1682 - Saint-Martin de Canezac Montirat, à l’âge d’environ 55 ans. Elle fut ensevelie le 24 avril dans le cimetière de l’église paroissiale de Saint-Martin de Canezac.

Generation 7 - BALSSA x BOU

Michel BALSSA
Né vers 1570 à La Brègue - Saint-Martin de Canezac - Montirat.
Décédé le 30 janvier 1637 à La Brègue - Montirat, à l’âge d’environ 67 ans
Marié vers 1595 avec
Jeanne BOU
le 1er décembre 1634 a été ensevelie Jeanne BOU femme de Michel BALSSA du village de La Brègue.

Generation 8 - BALSSA


Guillaume BALSSA né ca 1537

L’origine de la famille paternelle de Balzac se situe au hameau de La Brègue dans la commune de Montirat (Tarn) où sont cités en 1560 un Jean Balssa, fils de feu Michel et un Jean Balssa, fils de feu Jean [6] .

Guillaume Balssa est ensuite le premier Balssa de La Brègue sur lequel nous possédons quelques éléments, en particulier sa signature en 1578 sur un acte retenu par un notaire de Lunac, en Rouergue. Il fut le père de Michel Balssa qui, marié vers 1595, eut trois fils qui parvinrent à l’âge adulte : Guillaume (vers 1597-1647), son héritier et son successeur à La Brègue .

De nombreux généalogistes se sont penchés sur cette généalogie. Nous pensons en particulier aux très sérieux travaux de Jean-Louis Déga.
Comme à notre habitude nous avons travaillé dans le respect de l’authenticité des actes afin de vous présenter les éléments ci-dessus.

"Balzac et les écrivains occitans de la vallée du Viaur"

Voici le lien pour voir ou revoir l’émission "Balzac et les écrivains occitans de la vallée du Viaur" diffusée dans "Viure al païs" sur France 3 Occitanie le dimanche 2 février 2025 :

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/programmes/france-3_occitanie_viure-al-pais

Une fois passé les publicités...ceux qui entendent la langue occitane se régaleront... mais les autres aussi... paysages .. maison natale du père d’honoré, etc...