La famille de MALRIEU, dont nous avons présenté un certain nombre d’actes dans les mois passés, et pour laquelle nous vous proposons aujourd’hui une synthèse, est une fort ancienne famille millavoise de notaires, hommes de loi et marchands. Elle adopte très tôt les idées de la Réforme, et sera majoritairement fidèle à la Religion Reformée jusqu’à la Révocation de l’Edit de Nantes.
Cette étude a pu être réalisée grâce à tous nos décrypteurs qui œuvrent dans l’ombre depuis 37 ans pour alimenter nos bases [1]. Nous aurons une pensée particulière pour nos regrettés amis Jeanine et Maurice GALTIER qui furent les initiateurs de ces bases, qui ont certes bien évolué depuis lors...
Nos remerciements vont également à Jean DELMAS pour ses analyses toujours si pertinentes des documents anciens, à Jacques ASTOR pour l’étude des patronymes, à Monique BRUNEL qui scrute inlassablement, à longueur d’année, nos numérisations (Brozer) ainsi que les Archives départementales ; merci à nos adhérents qui nous signalent des actes intéressants, et grand merci à tous ceux qui numérisent aux AD pour alimenter notre base Brozer... Grand merci enfin à Christian CAUSSE qui gère le site du CERCLE GÉNÉALOGIQUE DE L’AVEYRON de main de maître, dépannant sans cesse les uns et les autres, et rendant notre "vitrine" de plus en plus attractive, ce qui a pour résultat une fréquentation en constante progression... Bref un grand merci à tous pour ce beau travail d’équipe qui fait la force de notre Cercle !!!
SB
Malrieu est un nom de lieu très connu dans l’Aveyron. On en compte 6 : un nom de ferme des communes de Rodelle et du Fel, un lieu-dit de l’ancienne commune de Buzeins, un nom de quartier de la commune de Nauviale et deux noms de ruisseaux de l’est des pays d’Olt (Lassouts) et du Ségala (Manhac – Baraqueville – Camboulazet).
Le sens en est mal riu « mauvais ruisseau ». Pourquoi « mauvais » ? les raisons paraissent en être multiples : « ruisseau peu abondant » (Nauviale, Rodelle), « dans une vallée peu étendue » (Le Fel, Buzeins) mais aussi sujets à débordements noyant durablement des fonds de vallée.
Il faut aussi noter que le ruisseau est couramment limite de propriété et sujet de toutes les contestations. On n’épuisera pas le sujet… et peut-être n’existe-t-il en fait qu’une seule raison, mais difficile à cerner à travers le brouillard des temps et des civilisations révolus.
Jacques ASTOR
Jehan de MALRIEU, Notaire, instrumente à Millau de 1519 à Janvier 1568, et ses "Minutes", sont fort utiles aux généalogistes !
Jehan de MALRIEU épouse Anoinette de TAURIAC (Antonieta de Tauriaga) vers 1530.
Antoinette de TAURIAC est la petite fille de Raymond de TAURIAC, et de Gauside de GRÉGOIRE. Les de TAURIAC sont dits, dès la fin du XVe s., « seigneurs de Saint Romain de Sernon » (Saint-Rome-de-Cernon ». [2]
De l’union de Jean de MALRIEU avec Antoinette de TAURIAC vont naître :
- Anthoine de MALRIEU, ° ca 1534-35, Notaire, qui suivra en II, et sera proposé dans un prochain article séparé
- Dominique de MALRIEU, qui suit en II. (°1536)
- Anthoinette de MALRIEU, qui est baptisée le 04.11.1542 à Millau. Elle épousera, avant 1570, Sieur Anthoine BALMAGUIER marchand protestant de Millau. [3] Puis en secondes noces, Anthoinette épousera Esperit BOURGONHON, marchand de St Affrique.
- Luc de MALRIEU. Probablement né vers 1549-1552 (archives lacunaires). Il est cité au testament de son frère Dominique de MALRIEU le 13.10.1570. Luc de MALRIEU épouse, en premières noces, le 28.12.1588, à Millau, Marie TERONDEL fille de Guillaume TERONDEL et Gilette ROQUAYROLE. Contrat de mariage, enregistré par Maître Jean Audoyn, notaire à Millau, en présence de Maître François Julien, licencié-es droits, Maître Jacques Molenier, docteur en droits, Maître Anthoine de Malrieu, notaire, qui tous signent. [4]
Luc de MALRIEU épousera en secondes noces, Marthe de MELJAC, fille de Daulphine de JAUX. Marthe teste le 07.07.1600, instituant héritier universel son époux Luc de MALRIEU. Aucun enfant n’est cité, seulement sa mère ainsi que "MELJAC Anthoine, Estienne, Marie, Catherine, Gauzerande et Judyt, ses frères et sœurs." [5]. Luc est "consul" en 1600. Mre Luc de MALRIEU praticien de la ville de Millau en Rouergue, teste le 25.11.1599 en faveur de Marthe MELJAC sa femme. Il fait des legs à son frère Anthoine et sa soeur Anthoinette ainsi qu’à ses neveux. Ce testament confirme que Luc n’eut pas de postérité. [6]
- Guillaume de MALRIEU. Probablement né vers 1549-1552 (archives lacunaires). Le 31.01.1570, acte passé par Dominique de MALRIEU
« Mise en apprentissage de Guillaume DE MALRIEU son frère pour trois ans chez PASCAL Jehan Me chaussatier de Millau ».
Guillaume est cité au testament de son frère Dominique le 13.10.1570. Il n’est pas cité dans le testament de son frère Antoine en avril 1587.
Jehan de MALRIEU teste le 23.11.1561 - Cf. notre article www.genealogie-aveyron.fr/spip.php?article1668
Jehan de MALRIEU cesse d’instrumenter en 1568, date à laquelle il cède l’étude à son fils Anthoine de MALRIEU (Cf prochain article)
Anthoinette de TAURIAC est citée dans le testament de son époux en 1561 , et dans ceux de son fils Antoine en 1570 et en 1587. Anthoinette de TAURIAC avait testé le 14.11.1556. Acte orné de la croix de Malte, et enregistré par Maître Georges Cadars, notaire de Millau. [7]
Honnête femme Anthoineta Tauriagua, (Anthoinette de Tauriac), épusee de Maître Jehan de Malrieu, notaire royal de ladite ville de Millau, établit son dernier testament et dicte ses dernières volontés "au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, Amen".
- Elle demande que son corps soit transporté dans l’église paroissiale Notre Dame de l’Espinasse, et mis dans le tombeau de ses feus prédécesseurs. Ce tombeau étant devant "la porte principale d’icelle église, dite des trépassés".
- Legs à Anthoine, Dominique, Luc et Guillaume de Malrieu, ses fils légitimes et naturels, et à chacun d’eux la somme de vingt cinq livres tournois, payables le jour de leur mariage. Elle les fait ses "héritiers particuliers".
- Leg à Anthoinette de Malrieu, sa fille légitime et naturelle, la somme de cent livres tournois, ses costumes et joyaux, à savoir la somme de cinquante livres tournois, plus ses costumes et joyaux, le jour de son mariage, et la somme restante par cinq livres chaque année ensuivant à la fête de carême, et la fait aussi son "héritière particulière".
- Ladite testatrice institue et nomme Maître Jean de Malrieu, notaire, son mari, comme héritier, et qu’il ait aux derniers jours de sa vie à rendre son hérédité à un de ses enfants, celui ou autre que bien lui plaira.
- Elle nomme Sire Jehan de Tauriac, Seigneur de Saint Romain de Montméjan et autres places comme exécuteur testamentaire, avec le susdit notaire.
L’acte a été fait et récité à Millau en la maison de ladite testatrice, elle étant malade en son lit, en présence de plusieurs témoins dont Maître Georges Bernard, prêtre, Charles Jaquet, chirurgien, Arnaud Montels, François Julien, Jehan Malhole, marchand, Dominique Verdala, maître apothicaire, habitants de ladite ville de Millau.
Dominique de MALRIEU voit le jour, à Millau, où il est baptisé le 16.01.1536. Il sera marchand et épousera Marguerite DAURES, fille d’Albert DAURES, marchand chauissetier, et Astrugue JULIEN. [8]. Sieur Albert DAURES, de Religion Réformée, fils de Paul DAURES, "considérant les maladies pestilancielles qui couvent en cette ville de Millau", testera le 5 avril 1587 [9] Il y cite sa fille Marguerite DAURES "deux fois veuve".
De l’union de Dominique de MALRIEU et Marguerite DAURES fille d’Albert DAURES et Astrugue JULIEN vont naître :
- Pierre de MALRIEU, qui est désigné "héritier universel" par son père en 1570. Puis il reçoit de son grand-père maternel Albert DAURES en 1587, " Cent écus à Pierre, payables après le décès de Astrugue JULIEN". Il figure au testament de son oncle Antoine en avril 1587. Il semble décéder aux alentours de 1590.
- Paul, qui suit en III reçoit de son grand-père Albert DAURES en 1587
"une maison que le testateur a assise dans les murs de Millau, rue dite de Saint Martin, et une métairie qu’il a au lieu de Saint Paul, ainsi que cent écus. Ces legs resteront propriétés de Astrugue JULLIEN, sa femme et héritière, sa vie durant. "
Dominique de MALRIEU, marchant, témoigne dans de nombreux actes en 1569 et 1570, en particulier au mariage (protestant) de Jehan BONAMAYRE et Marguerite VIDALLE. Ainsi qu’au testament de Guillaume BRINGUIER chirurgien protestant. Ceci confirme l’importance que semblait avoir Dominique de MALRIEU à Millau, en particulier dans le milieu protestant.
De Religion Réformée, Dominique de MALRIEU teste le 13.10.1570 [10].
Sont cités au testament : Paul de MALRIEU son fils ; Me Anthoine de MALRIEU notaire royal son frère, Luc et Guilhaume de MALRIEU aussi ses frères ; Anthonette de MALRIEU sa sœur (x- Anthoine BALMAGUIER) ; Anthoinette TAURIAGUE sa mère veuve de Me Jehan de MALRIEU son père. Héritier universel : Pierre de MALRIEU son fils sinon Paul de MALRIEU autre fils .
Dominique de MALRIEU décèdera, à l’âge de 34 ans, avant le 2 novembre 1570, date à laquelle un acte cite "feu Dominique de MALRIEU" [11] Cet acte ( bail à ferme ou arrentement de la boutique de feu Dominique de MALRIEU) sera proposé dans un prochain épisode.
Suite à ce décès prématuré, quelques problèmes vont apparaitre entre Sieur Albert DAURES marchant et Me Anthoine de MALRIEU, notaire, respectivement beau-père et frère de Dominique de MALRIEU. Dans un acte du 30.12.1570, [12] « Me Anthoine de MALRIEU notaire » est qualifié de " tuteurs des enfants de feu Dominique de MALRIEU ".
Suite à son veuvage, Marguerite DAURES, (filles d’Albert DAURES, marchand de Millau et d’Astrugue JULIEN) épousera en secondes noces le 12 février 1572, à Millau, Brenguier YSSIEUTON. Le contrat de mariage est passé "en la maison de Sire Aubert DAURES, fils de Paul.
Contrat de mariage entre Sire Brenguier Yssieutou, marchand de Millau, d’une part et Marguerite Daures, fille naturelle et légitime de Sire Aubert Daures et de Astrugue Julien, mariés," veuve de feu Sire "Dominique de Malrieu aussi marchand" de Millau d’autre part.
Fait et récité audit Millau et maison susdite Albert DAURES, en présence de Sires Anselme Molenier, Jehan et Pierre Aldeguier, François Julien, Anthoine Vaissière, Aubert Daures fils de Grégoire, marchands de Millau, entre autres témoins soussignés. Le futur signe, mais pas la future, ne sachant écrire. [13]
De cette seconde union vont naître [14]. :
- Marthe SIENTONNE, qui teste le 03.09.1625) [15]. Marthe est veuve en premières noces de Miquel CORTALHAC et épouse en secondes noces de Guilhaume GARIBAL marchand. Religion réformée -
Cités : Jacques - Pierre et Marguerite CORTALHATS enfants de la première union ; Pierre SIENTON son frère ; Marthe et Anne GARIBALDES filhes de la seconde union ; Guilhaume GARIBAL son époux ; Héritier universel : Guilhaume GARIBAL son fils de la seconde union
- Pierre (Seyton - Sieuton) YSSIEUTOU
- Jean (Seyton - Sieuton ) YSSIEUTOU
- Marie SIENTONNE. Epouse de Jean CARBONNIER , Me chaudronnier. Voir donation du 21.08.1667.
Religion réformée - Donation pour Jean CARBONNIER Me chaudronnier son fils - Autre don pour Anne CARBONNIERE filhe (Vve de Pierre MOLENIER) - Cités : Jacques et Jeanne CARBONNIERS petit-fils - enfants de Pierre CARBONNIER - Marguerite CARBONNIER autre filhe - Isabeau CARBONNIERE sa filheule et filhe dudit donataire
Marguerite DAURES décèdera, ab intestat, avant 1625.
Paul de MALRIEU épouse Suzanne De VIALETTES ca 1590.
Paul de MALRIEU teste une première fois le 11.03.1591, [16] Très vraisemblablement juste après son mariage avec Suzanne DEVAUX (alias De VIALETTES) - Cf notre article www.genealogie-aveyron.fr/spip.php?article1664
Le testament de Marie de Vialettes, en date du 26.09.1611 [17] nous apprend que Suzanne de VIALETTES (sœur de Marie) est la fille de feu Antoine de VIALETTES et Delle Bourguine COSTES. De Religion réformée, Marie est l’épouse de noble Jacques de TAURIAC, Sieur d’Alteyrac . Sont cités au testament de Marie : Suzanne de VIALETTES, sa sœur, épouse de Paul de MALRIEU, bourgeois . Héritier universel : Ymbert de TAURIAC son fils. ]]
Le 20.08.1607 : Quittance par ledit Paul DE MALRIEU, marchand, et Jean BALMAGUIER marchand de Milhau, « fermiers pour le Roy en l’année 1601 des droist de loz et ventes et blés censuelz de Milhau » d’une part à Jacob GAUJALH marchand de Milhau pour l’achat de maisons et champs à Milhau
Le 09.12.1613 - Nouveau testament de Sieur Paul de MALRIEU, bourgeois de Millau, époux de Suzanne de VIALETTE fille d’Anthoine VIALETTE. Religion Réformée.
Cités : son épouse Suzanne de VIALETTES ; Jean, Anthoine, Susanne, Claire, Anthoinette et Marie de MALRIEU ses enfants. Héritier universel : Paul de Malrieu fils aîné. [18]
Le 19.02.1623 - Testament de Suzanne de VIALETTES, épouse de Paul de MALRIEU. Religion réformée -
Cités : Paul - Jean - Anthoine - Claire - Catherine et Marie de MALRIEU ses fils et filhes - Héritier universel : Paul de MALRIEU son mari pour Paul de MALRIEU fils ayné. [19]
Le 16.01.1633 nouveau testament de Paul de MALRIEU. La « Religion réformée » est confirmée.
Sont cités au testament : Paul - Jean et Anthoine de MALRIEU ses enfants - Claire de MALRIEU (x- Me Gabriel de TAURYNES Dr en droits de St Affrique) et Anthoinette de MALRIEU (x- Charles JAUSSAUT marchand de Milhau) ses filhes - Héritière universelle : D [20] Susanne de VIALETTES son épouse. [21]
Le 07.03.1633 Suzanne de VIALETTES teste à nouveau. Religion réformée confirmée.
Cette fois sont cités : Paul - Jean et Anthoine de MALRIEU ses fils - Claire de MALRIEU sa filhe (x- Me Gabriel TAURYNES Dr en droits de St Affrique) - Anthoinette de MALRIEU autre filhe (x- Charles JAUSSAUT marchand de Milhau) - Héritier universel : Paul de MALRIEU son mari.
Le 09.04.1647 , son épouse Suzanne de VIALETTES étant décédée, et des petits-enfants étant nés aux foyers de ses filles, Paul de MALRIEU teste une nouvelle fois. [22]
Religion réformée -
Cités : Anthoinette de MALRIEU filhe (x- Charles JAUSSAND marchand de Milhau) et Louis - Elisabeth - Jean et Susanne JAUSSAND petits-enfants et Me Gabriel de TAURINES Dr et avocat - Susanne et Anthoine de TAURINES petits-enfants - fils de + Me Gabriel de TAURINES et de Delle Claire De MALRIEU sa filhe - Anthoine De MALRIEU fils naturel d’autre Anthoine De MALRIEU son fils - Héritiers universels : Paul et Anthoine De MALRIEU ses fils et de feue Delle Susanne De VIALETTES son épouse.
Suite à l’étude des testaments précités, nous pouvons établir la descendance du couple Paul de MALRTIEU x Suzanne de VIALETTES :
- Paul de MALRIEU
- Jean de MALRIEU
- Anthoine de MALRIEU °1612, qui suit en IV (dont un fils naturel : Anthoine (°<1647)
- Claire de MALRIEU contractera mariage le 08.03.1623 avec Me Gabriel de TAURYNES Dr en droits de St Affrique). [23] Dont : Susanne et Anthoine de TAURINES
- Suzanne de MALRIEU Bp 17.10.1615 (BMS Protestants)
- Anthoinette de MALRIEU contractera mariage le 02.02.1632 avec Charles JAUSSAND marchand de Milhau. Veuf de Marthe MALHOLLE. Religion réformée. Dont : Louis ; Elisabeth ; Jean et Susanne JAUSSAND
- Marie de MALRIEU
Anthoine de MALRIEU voit le jour à Millau en 1612, et reçoit le baptême protestant le 22.02.1612. Parrain : Jehan BALMAGUIER, marchand. Marraine : Anne FAGES, épouse d’Estienne ROUX, marchand.
Sieu Anthoine de MALRIEU, bourgeois, fils de sieur Paul de MALRIEU, bourgeois et de feue Suzanne de VIALETTE contracte mariage le 20.02.1649 avec Guillaumette RESCLAUSE (fille de Pierre RESCLAUSE, marchand et de feue Louise DELTEIL de Millau). [24]
De leur union :
- Charles qui suit en V
- Pierre de MALRIEU qui teste le 09.05.1674. Il est qualifié de Sieur
"sur le point de son départ pour aller au service de sa majesté". Religion réformée - Héritière universelle : Guilhaumette de RESCLAUZE sa mère [25]
- Jean de MALRIEU. Demeurant à la Métairie dite de Cureplat (Paroisse de Millau), "apothicaire". Il teste le 19.01.1696. Citant : DllesGuilhaumette de RESCLAUSE, sa mère pour Susanne, Louise et Marie de MALRIEU, ses sœurs. [26]
- Suzanne de MALRIEU citée au testament de son frère Jean (1696), et au mariage de sa sœur Marie (1702). Elle épouse à Millau le 13.09.1704, Sieur Jacques CARAGUEN, bourgeois.
- Louise de MALRIEU citée au testament de son frère Jean (1696) et mariage de sa sœur Marie (1702), ainsi qu’au mariage de sa nièce
- Marie de MALRIEU, citée au testament de son frère Jean (1696. Elle contracte mariage le 25.02.1702 avec Sieur Abraham PECHEGUT, marchand d’Alès. Enregistrement des pactes et conventions de mariage passés sous seing privé le 11.08.1701. Marraine de sa nièce Marie.
Charles de MALRIEU contracte mariage le 13.12.1673 avec Isabeau VOIISIN (fille de feu François VOISIN, bourgeois, et de Delle Jeanne d’HUGLA. Les deux époux sont de Religion réformée. [27]
Voir notre précédent article www.genealogie-aveyron.fr/spip.php?article1661